S'il n'y avait pas eu une importante exploitation de bois en 1923-24, il n'existerait probablement aucune vue de la gare. On peut ici admirer un couplage de wagons plats à traverse mobile (édit. Gavand, coll. Mandrillon).
L'exploitation de la Grande Forêt par les Papeteries de France nécessita l'emploi de matériel de chemin de fer à voie de 60. La vue montre une machine de chantier Orenstein & Koppel, et les ouvriers qui viennent probablement de transborder les grumes (édit. Gavand, coll. Mandrillon).
Vue générale de la gare et du village, toujours durant l'intense période d'exploitation de la forêt. La voie de débord complémentaire posée à cette occasion est bien visible, ainsi que le rustique portique de transbordement (édit. Gavand, coll. Mandrillon)..
Vue aérienne de la gare, prise en 1930. Seuls les baraquements en bois témoignent de la courte période d'intense activité de la gare (coll. Institut Géographique National, mission NP 4 cliché n° 38).
Sur cette vue des années 1950, on aperçoit la gare sur la droite, légèrement excentrée par rapport au village (édit. Cim, coll. Mandrillon).
La gare en juillet 2001 (cliché Mandrillon).
Le puit en juillet 2001 (cliché Mandrillon).
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