Avant la guerre de 1914–1918, le lieu semble désert. Seules les bouses de vaches et les traces des roues des voitures témoignent d'une activité récente. Une voiture voyageurs de renfort est remisée sur la voie en cul-dde-sac côté Clairvaux. On peut aussi admirer les vastes water-closets, qui existent encore de nos jours (coll. Mandrillon).
Juste après la première guerre mondiale, vers 1919. La bicyclette accolée au poteau téléphonique est peut-être celle du photographe (édit. Ecoiffier, coll. Mandrillon).
Au cours de la deuxième moitié des années 1920, l'essor de l'automobile a entraîné la mise en place d'une pompe à essence devant le café Charnal (édit. Charnal, coll. Landré).
La gare durant la première moitié des années 1930. Le poste de transformation électrique à droite a été érigé en 1930. Sur la gauche, on aperçoit le stock de charbon qui sert à alimenter les machines assurant la dessert de la ligne d'Arinthod (édit. CLB n° 36503, coll. Landré).
Dans la deuixème moitié des années 1930, les trains ont définitivement déserté le cliché, seules les automobiles sont visibles (édit. Ramboz n° 37772, coll. Mandrillon).
Au cours de la même périod,e en hiver, les autocars Saurer des CFV assurent dorénavant le transport des voyageurs (repro. Bernard).
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