22 avril 1925 : commande de deux autorails de type RBMC à 210 000 F pièce ;
18 janvier 1928 : livraison à Salins de l'exemplaire SA 3 ;
11 février 1928 : livraison à Salins de l'exemplaire SA 2 ;
octobre 1929 : retrait définitif du service après des avaries en série ;
septembre 1930 : remise en service temporaire pour des essais menés par Berliet ;
10 au 24 juillet 1934 : remise en service du SA 3 dans le cadre d'une expertise judiciaire ;
5 janvier 1939 : accord entre le département du Jura et Berliet pour la reprise de son matériel.
Déchargement de l'exemplaire SA 3 à Salins en janvier 1928 (coll. Musée du Tacot).
Probablement au cours de l'été 1928, le personnel pose avec l'autorail en gare d'Andelot (cliché Potot, coll. F.A.C.S.).
27 novembre 1933 : le département de la Côte d'Or annonce qu'il peut céder un autorail neuf pour 245 000 F ;
4 avril 1936 : le département du Doubs accepte sa location ;
30 mai 1936 : premiers essais sur Morteau–Trévillers ;
27 avril 1937 : achat de l'autorail pour 175 000 F ;
1940 : retrait du service à la suite d'une panne mécanique ;
1945 (?) : remise en service ;
mars 1949 : mutation au dépôt de Pontarlier ;
1er août 1951 : fin de service.
L'autorail vu à sa sortie d'usine en 1935, il est juste muni d'une peinture d'apprêt (cliché Berliet, coll. Mandrillon).
À la fin des années 1930, vue de l'autorail avec une remorque De Dion-Bouton sur les R.F.C. Une galerie pour les bagages a été ajoutée en toiture, et il est muni de klaxons et d'une cloche (coll. Musée du Tacot).
Au cours de l'été 1949, l'autorail vient d'arriver à Besançon-Rivotte. Les deux phares avant ont disparu, et les klaxons ont été regroupés sur la gauche de la caisse (cliché A. Artur).
Été 1953 : l'autorail est abandonné à Pontarlier. Il attend d'être vendu, tout comme la remorque R 8 (cliché W. Boegli, coll. Rochaix).
© Élie MANDRILLON 2016 – 2025