Durant les premières années d'exploitation, arrivée d'un train en provenance de Mouthe. L'aspect encore presque immaculé du remblais et la présence des couvre-mouvements sur la locomotive seront bientôt oubliés (cliché Parreaux, coll. Thiriat).
Les hivers sont rudes dans la vallée de Mouthe. Cette carte-postale de la période 1904 – 1907 en témoigne (coll. Boissier).
Le développement des sports d'hiver entraîne un afflux de touristes sur le tramway, notamment au cours des années 1930 (coll. Cuynet).
Cliché amateur d'un train en train de faire de l'eau, au cours des années 1930. Il se dirige sur Mouthe, et est emmené par la Corpet-Louvet n° 4 (coll. Mandrillon).
L'été, les autorails De Dion-Bouton prenennt le relais des trains à vapeur. Les remorques légères permettent de faire face à l'affluence (cliché Addor, coll. Rochaix).
Juillet 1949 : la vapeur a vécu, comme en témoigne le locotracteur n° 102, en tête d'un train venu de Pontarlier. À cette époque, la composition des convois est hétéroclyte : voiture à bogies de la ligne de Besançon, voiture à bogies originaire de la Haute-Saône, et ancien autorail Brissonneau-et-Lotz démotorisé de l'Anjou (cliché C. Schnabel, coll. Mandrillon).
27 août 1950 : dernier été d'exploitation sur Malbuisson. L'autorail Brissonneau-et-Lotz n° 44 est prêt à repartir sur Pontarlier. On peut remarquer le cintrage de la caisse, probablement dû à une collision (cliché P. Laurent).
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